Précompte immobilier et autres taxes à Bruxelles
Les taxes sur les immeubles de bureaux situés à Bruxelles capitale sont impactées par la réorganisation des administrations de la Région. De plus, la crise du COVID-19 gèle la construction et occasionne un manque à gagner pour les investisseurs. Face à une situation si exceptionnelle, quels sont vos leviers d’actions ?
Depuis janvier 2018, les contributions ont été régionalisées et, en février 2020, l’administration du cadastre a été restructurée, impliquant de potentiels nouveaux positionnements en matière de fiscalité immobilière.
De plus, le confinement mis en place afin d’endiguer la pandémie du coronavirus a gelé le secteur de la construction, suspendant le traitement des permis, retardant l’envoi des avertissements extraits de rôle et occasionnant ainsi un manque à gagner considérable pour des investisseurs. Peut-on, en Région Bruxelloise, invoquer l’improductivité (abolie) ou la force majeure ?
Dans ce contexte, des optimisations fiscales sont-elles encore possibles ?
Au cours d’un webinar le mercredi 29 avril, Laurie Pilo, Managing Director d’Ayming Belgium et Alexandra Dryjski, Senior Manager en Finance performance, spécialisée en taxes immobilières, abordaient ces thèmes ensemble.
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Les experts
Agenda
- Quelles sont les taxes concernées ?
- Bruxelles vs. le reste de la Belgique : comparatif du poids du précompte immobilier et autres taxes immobilières en Région Bruxelles Capitale par rapport aux autres régions
- Quels leviers actionner pour réduire le poids de votre fiscalité immobilière dans cette situation exceptionnelle ?
- Q&A
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